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L ’ an 3 du régime de Macky Sall résume l’actualité sénégalaise
Publié le mercredi 25 mars 2015  |  Agence de Presse Africaine




Le 3ème anniversaire ce 25 mars 2015 de l’accession du président Macky Sall au pouvoir, à la faveur du second tour de la présidentielle de 2012, face au président sortant, Abdoulaye Wade, est largement commenté par les quotidiens sénégalais reçus mercredi à APA.

«Trois ans de pouvoir de Macky Sall : Qu'a-t-il fait ?», titre Direct-Info, soulignant que la coalition Benno Bokk Yakaar qui l'avait soutenu au second tour est «à l'épreuve des contradictions d'un pouvoir».

Parmi les «bons points» du chef de l'Etat, Direct-Info note la baisse du loyer, de l'impôt sur le revenu, la couverture maladie universelle et les bourses familiales…

«Une économie plombée malgré les embellies. Après deux ans d'accalmie, l'éducation en eaux troubles», analysent nos confrères de ce journal.

Pour Rewmi quotidien, «trois ans après son élection, Macky fait rêver, mais peine à convaincre».

«Plus de deux ans pour convaincre», titre La Tribune, rappelant que trois Premiers ministres se sont déjà succédé, une cinquantaine de ministres déjà consommés.

Parlant de l'an3 de Macky Sall, Le Soleil estime que c'est «le temps des réalisations».

Ce qui ne convainc pas Le Quotidien qui, revenant sur l'exécution du Plan Sénégal Emergent, des réformes institutionnelles, de l'emploi…note que «c'est lent 3». «An 3 de Macky Sall : entre espoirs et déceptions», écrit Le Populaire.

Poursuivant le verdict du procès de Karim Wade et Cie, ce journal informe que «les avocats de Bibo, Pouye et Diassé vont se pourvoir en cassation».

«Les juges n'ont pas osé…», dit à la Une de Libération, Me Boubacar Cissé, revenant sur le fait que la Cour n'a pas décerné de mandat de dépôt sur l'audience à Bibo Bourgi.

L'As se focalise sur la présidentielle de 2017 et souligne que «le code électoral disqualifie Karim Wade» car, selon les dispositions de ce code, toute condamnation à 5 ans et plus pour n'importe quel délit, interdit au condamné toute inscription sur les listes électorales et entraine de facto son inéligibilité.

Le journal EnQuête s'intéresse au lendemain de condamnation de Karim et fait état de «dilemme de Wade».

«Les possibilités qui s'offrent au Pds sont très minimes», dit dans le journal le professeur Papa Fara Diallo, pendant que l'analyste politique Ibou Sané estime que «ce qui reste à ce parti (qui a investi samedi dernier Karim candidat à la présidentielle de 2017) est d'organiser de nouvelles primaires».
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