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Me El Hadji Amadou Sall : «Le Sénégal est en train d’écrire la page sombre de son histoire judiciaire»
Publié le dimanche 26 janvier 2014   |  Ferloo


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Me Amadou Sall


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Me El Hadji Amadou Sall s’est prononcé sur le dossier de Mme Aïda Diongue avec en toile de fond la sortie du procureur Serigne Bassirou Guèye et celle des avocats de l’ancienne sénatrice libérale. Pour l’ancien Garde des Sceaux, sur les ondes de Sud Fm, «le Sénégal est en train d’écrire la page sombre de son histoire judiciaire».
A u départ, l’ancien ministre de la Justice, Garde des Sceaux, et un des avocats de Mme Aïda Diongue, Me El Hadji Amadou Sall n’a pas voulu avancer dans le dossier en instance. Mais la sortie du procureur Serigne Bassirou Guèye lui parait tellement «inédite» qu’il se lâche en qualifiant la sortie du procureur de «bourde judiciaire», car c’est la première fois qu’un procureur aille jusque dans le plus petit détail d’un dossier judiciaire, alors qu’on ne poursuit pas Aïda Diongue d’enrichissement illicite.

Selon Me El Hadji Amadou Sall, la sortie du procureur n’était ni plus ni moins qu’une manière de «manipuler l’opinion publique sénégalaise» ; avant de taxer de « faux » et « abjects» les arguments du procureur sur la fortune d’Aïda Diongue lors de sa conférence de presse.

Abordant les réalisations du président Macky Sall, Me El Hadji Amadou Sall n’en voit pas encore. Non plus, il ne dit pas voir un plan de développement clair du Sénégal. «Les réalisations du président Macky Sall se limitent à la construction des dos d’âne et des ralentisseurs sur les routes de Me Abdoulaye Wade», fait-il remarquer.

Appréciant la baisse sur les coûts des loyers, l’ancien ministre de la Justice Garde des Sceaux, El Hadji Amadou Sall estime que tout le monde ne trouve pas son compte et par conséquent, insiste-t-il, « la loi 2014-03 du 22 janvier 2014 portant baisse des loyers est difficilement applicable». Selon lui, la solution passerait par la facilitation de l’accès au logement en impliquant les promoteurs privés, les banques, ( …), en baissant les coûts de construction.
Pour autant, il qualifie de l’Acte 3 de la Décentralisation avec la suppression des régions de «catastrophe», car argue-t-il, «on ne prend pas des institutions pour satisfaire les intérêts politiques d’une personne».

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