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    Société

    Des ONG demandent à Bissau de ne pas extrader les Gambiens arrêtés sur son territoire
    Publié le samedi 3 janvier 2015   |  Agence de Presse Sénégalaise


    Les
    © aDakar.com par MC
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    La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), Amnesty International/Sénégal (AI/SS) et la Ligue sénégalaise des droits de l'homme (LSDH) ont demandé vendredi au gouvernement bissau-guinéen ‘’de ne pas extrader les personnes arrêtées sur son territoire vers la Gambie, où celles-ci risquent d’être exécutées ou la peine de mort’’.

    Dans un communiqué conjoint transmis à l'APS, les trois ONG exhortent les autorités gambiennes, le gouvernement et les forces de sécurité et de défense à ''agir dans le plein respect des droits humains, conformément aux leurs engagements vis-à-vis des instruments juridiques internationaux et régionaux’’.

    Plusieurs dizaines de civils et militaires ont été arrêtés, jeudi à Banjul après le coup d'Etat manqué contre le président Yahya Jammeh, rapportent des sources médiatiques. Craignant d'être arrêtés, quatre officiers soupçonnés d'avoir participé à la tentative ont quitté le pays et sont arrivés mercredi soir en Guinée-Bissau.

    Le président gambien Yahya Jammeh a qualifié le putsch avorté contre son régime ''d’attaque terroriste'', accusant des puissances étrangères d'avoir soutenu les auteurs du coup manqué de mardi.

    La RADDHO, AI/S et la LSDH se disent vivement préoccupées ‘’par la situation prévalant actuellement en Gambie (…) tout en réitérant une ferme opposition à toute forme d’accession au pouvoir par des procédés non constitutionnels’’.

    Elles condamnent ‘’les arrestations arbitraires en cours en Gambie du seul fait de la proximité avec les présumés auteurs des évènements susvisés et craignent une répression sans discernement dans une logique de terreur tous azimuts’’.

    Les trois ONG lancent ‘’un appel pressant aux Nations Unies, à l’Union Africaine et à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour l’ouverte d’une enquête transparente et impartiale sur les violations graves et répétées des droits humains commises en Gambie au cours de ces deux dernières décennies (…)’’.

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