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Un nouvel album pour exporter la diversité de la musique sénégalaise (compositeur)
Publié le mardi 30 decembre 2014   |  Agence de Presse Sénégalaise


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© aDakar.com par DF
Un nouvel album pour exporter la diversité de la musique sénégalaise
L`auteur-compositeur et producteur sénégalais Jean-Pierre Senghor a annoncé lundi à Dakar la sortie de l`album "Jam ak salaam", une production musicale de 16 titres par lesquels il veut exporter la "diversité" de la musique sénégalaise.


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L'auteur-compositeur et producteur sénégalais Jean-Pierre Senghor a annoncé lundi à Dakar la sortie de l'album "Jam ak salaam", une production musicale de 16 titres par lesquels il veut exporter la "diversité" de la musique sénégalaise.

"C’est un projet qui essaie de capter la richesse et la diversité de la scène musicale sénégalaise. C’est un album où se rencontrent des musiques de différents horizons", a-t-il dit en présentant à des journalistes cette nouvelle production du studio Djidiack Music.

"Jam ak salaam" est le fruit du cheminement d’artistes confirmés et de "nouveaux talents" aux styles musicaux issus d’horizons divers, a-t-il encore dit en conférence de presse.

La plupart des titres de "Jam ak salaam" sont chantés en wolof. Le pular, le sérère et le diola ajoutent à la variété linguistique et musicale de cette compilation, un mélange de pop, de rock, de rap, de jazz, de reggae, de blues, de slam et de notes brésiliennes.

"De l’expression des salutations +jamm ak salaam+ naît le jeu de mots +jam+ qui, dans le jargon musical, signifie +la rencontre+, et +salaam+, qui signifie +la paix+", a expliqué Jean-Pierre Senghor, rentré au bercail après une carrière d’arrangeur, compositeur et "claviste'' freelance, pendant 25 ans, au Brésil.

"Nous avons fait tomber les frontières et éclater les niches musicales, avec harmonie", s'est réjoui le fondateur du studio Djidiack Music en 2009, en rappelant que "l’album n’est pas le disque d’un chanteur, mais celui d’un artiste-réalisateur, qui fait un enregistrement avec beaucoup d’artistes du Sénégal et du Brésil".

Par des projets musicaux de ce genre, les artistes pourront donner un souffle nouveau à la musique sénégalaise, selon Senghor.

"Nous commençons notre travail par la création d’un marché, qui n’est pas uniquement sénégalais mais international", a-t-il ajouté, en parlant de "Jam ak salaam".

Jean-Pierre Senghor dit avoir commencé sa carrière musicale à l'âge de six ans, en jouant du violon, puis du piano à 12 ans. Il a mis sur pied son premier groupe, ''Le Bataaxal'', à l’âge de 17 ans, avant de rejoindre le Brésil, où il a étudié aussi l'architecture et l'urbanisme.

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