Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Senegal    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Sud Quotidien N° 6453 du 8/11/2014

Abonnez vous aux journaux  -  Voir la Titrologie

  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Abdoulaye daouda Diallo sur l’interdiction de manifestations durant le sommet de la Francophonie: "L’État restera un État de droit"
Publié le dimanche 9 novembre 2014   |  Sud Quotidien


Cérémonie
© aDakar.com par DF
Cérémonie publique d`incinération de drogue
Dakar, le 07 Novembre 2014- Le ministre de l`Intérieur et de la Sécurité publique a participé à une cérémonie publique d`incinération de drogue, en présence du directeur de l`Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), Mame Seydou Ndour. Dakar, le 07 Novembre 2014- Le ministre de l`Intérieur et de la Sécurité publique a participé à une cérémonie publique d`incinération de drogue, en présence du directeur de l`Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), Mame Seydou Ndour. Photo: Abdoulaye Daouda Diallo, ministre de l`intérieur et de la sécurité publique


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Selon Abdoulaye Daouda Diallo, ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, il y a d’autres priorités pour les forces de l’ordre avec le Sommet de la Francophonie qui se tiendra à Dakar, les 29 et 30 novembre, que d’encadrer des manifestions. Il réaffirme ainsi que les manifestations prévues durant cette période ne seront pas autorisées et n’auront pas lieu. «L’Etat restera un Etat de droit où toute la rigueur sera appliquée», a-t-il fait savoir.

« Il faut constater quand même que nous allons vers un Sommet particulièrement important qui va nécessiter que nous mobilisons nos efforts ailleurs plutôt que dans l’encadrement de manifestations ». Ce sont les propos d’Abdoulaye Daouda Diallo, ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique qui était interpellé hier, vendredi 7 novembre sur la décision du gouverneur de Dakar d’interdire toute manifestation dans la capitale sénégalaise, du 10 novembre au 5 décembre.

Le ministre a tenu là à préciser d’ailleurs qu’une manifestation relève de l’autorité du gouverneur, du préfet et même du sous-préfet par moment. Donc, a-t-il estimé, « c’est à ces autorités d’apprécier les demandes qui sont formulées à leur niveau et d’en donner une suite favorable ou non ».

Toutefois, il a ajouté que si ces autorités n’apprécient pas la recevabilité des demandes, nécessairement ces manifestations ne seront pas autorisées et n’auront pas lieu non plus parce que, souligne-t-il, « l’Etat restera un Etat de droit où toute la rigueur sera appliquée ».

Pour rappel, le gouverneur de Dakar, Cheikh Ahmed Tidiane Ndoye a pris la décision d’interdire toute manifestation à Dakar à partir du 10 novembre jusqu’au 5 décembre prochain. Ce, en raison du Sommet de la Francophonie qui s’ouvre dans la capitale sénégalaise le 29 novembre avec la présence de plusieurs chefs d’Etats du monde.

Soulignons également que cette décision a été prise quelques jours, après l’annonce faite par le secrétaire général national du Parti démocratique Sénégalais (Pds) Me Abdoulaye Wade d’organiser un grand meeting le 21 novembre prochain. Mais les libéraux ont fait savoir, jeudi dernier, au sortir de leur comité directeur qu’ils maintiennent leur marche prévue à cette date. Avec ou sans autorisation disent-ils, cette marche va se tenir à cette date.

 Commentaires