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Mbagnick Ndiaye appelle à faire de la culture "un facteur de développement"
Publié le dimanche 9 novembre 2014   |  Agence de Presse Sénégalaise


La
© aDakar.com par DF
La Chine célèbre la proclamation de la République Populaire
L`Ambassade de la République Populaire de Chine au Sénégal a célébré l`accession à l`indépendance de la Chine, le 1er Octobre 1949. Photo: Mbagnick Ndiaye, ministre de la culture


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Le ministre de la Culture et de la Communication, Mbagnick Ndiaye, a souligné, samedi à Dakar, la nécessité de faire de la culture "un facteur de développement et d’épanouissement".

"La culture apparaît comme un secteur rentable et productif. Nous devons arriver à en faire un facteur de développement et d’épanouissement, dans ce monde en pleine mutation", a recommandé M. Ndiaye aux participants de la réunion de deux jours organisée depuis vendredi, à Dakar, en prélude au sommet de la Francophonie.

"La contribution de la culture à la cohésion sociale, à la lutte contre l’exclusion et les inégalités, à l’amélioration du bien-être des individus peut accompagner le développement d'un pays", a-t-il souligné.

"La culture dans les stratégies de développement : expériences et perspectives" est le thème de la réunion qu’organisaient l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et le ministère sénégalais de la Culture et de la Communication.

En plus d’être source de "divertissement ou d’épanouissement", la culture peut être une source de "création d’emplois" et un facteur d’exportation de biens marchands, selon le Mbagnick Ndiaye.

"Entre 2002 et 2011, les exportations de biens créatifs ont augmenté chaque année en moyenne de 12,1%, dans les pays en développement", signale un document de presse de l’OIF.

Pour maintenir ce rythme de croissance et "capter tout le potentiel du secteur culturel, notamment dans la lutte contre la pauvreté, il est nécessaire d’en avoir une vision transversale, qui prenne en compte la dimension sociale et humaine du développement", a expliqué Mbagnick Ndiaye.

Les participants à la réunion ont préconisé le "renforcement" et la "diversification des programmes" culturels. "Cela requiert des programmes de formation et la mise en place d’un système d'information économique pour les Etats", a indiqué Francisco Almeida, en lisant le rapport final de la réunion.

Aussi a-t-il recommandé "la mise à niveau" des entreprises culturelles.

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