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Enquête Plus N° 1017 du 6/11/2014

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Burkina Faso: Le Senaaf pointe les menaces
Publié le vendredi 7 novembre 2014   |  Enquête Plus


Le
© Autre presse
Le président Macky Sall a rencontré le nouvel homme fort du Burkina Faso
Le chef de l`État du Sénégal a participé avec les présidents ghanéen et nigérian à la médiation pour l`instauration d`une transition civile au Burina Faso.


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Le déplacement du président de la République à Ouagadougou est positivement apprécié par l’association Sénégal Alternative Afrique (SENAAF), une structure de cadres sénégalais basés en France et en Europe. Selon un communiqué parvenu à notre rédaction et signé du président Aboubacry Bâ, Macky Sall devait naturellement «s’autosaisir» du dossier de la crise burkinabè car le Sénégal a «toujours joué dans la médiation et la résolution des conflits en Afrique» ; et à ce titre, il est «une des personnalités africaines la plus indiquée» pour mener ces médiations.

Saluant «la posture patriotique et républicaine dont l’armée a su faire preuve», le Senaaf estime que les militaires doivent «remettre rapidement la gestion du processus politique de transition aux civils» et «retourner dans les casernes» afin de «se recentrer sur (leurs) prérogatives et missions vitales pour l’intégrité et la souveraineté du pays».

Au regard du contexte sous régional tendu et caractérisé par «la reprise des affrontements au Mali, la menace djihadiste et le virus Ebola», le Senaaf estime que «prévenir tout risque d’escalade au Burkina Faso serait un acte de haute portée stratégique.»

CUMUL DE MANDATS

Le Cirsem interpelle Macky Sall

Le débat sur le cumul de mandats est remis au goût du jour par le Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’alliance pour la république (CIRSEM). Et c’est pour exhorter le président de la République à le supprimer conformément à son engagement contenu dans le programme Yonnu Yokkute. Dans un communiqué rendu public mardi, Lassana Sidibé et Cie estiment que «le cumul des mandats ne s’accommode pas avec l’éthique et la morale dans un régime politique de rupture et de gestion sobre et vertueuse.» De plus, poursuivent-ils, il «ne favorise pas l’émergence d’un pays» qui, pourtant, «regorge de ressources humaines compétentes dans toutes les catégories socio-professionnelles.»

Par ailleurs, le CIRSEM constate, pour s’en désoler, la persistance de certains «pratiques désobligeantes» au niveau des collectivités locales comme l’absentéisme chronique d’élus locaux, (…) la délégation de signature dans l’exécution de certaines tâches courantes»....

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