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Pour plus de Francophonie économique
Publié le mercredi 24 septembre 2014   |  Agence de Presse Africaine


Abdou
© Autre presse
Abdou Diouf va quitter la tête de l`Organisation Internationale de la Francophonie
Abdou Diouf va quitter la tête de l`Organisation Internationale de la Francophonie à l`issue du 15e sommet qui va se tenir à Dakar, les 29 et 30 Novembre 2014


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Le potentiel économique de la francophonie jugé énorme se révèle « insuffisamment exploité », selon plusieurs observateurs.

La Francophonie institutionnelle est ainsi appelée, avec le temps, à céder le pas ou du moins à cohabiter avec une Francophonie économique plus forte.

En termes de poids économique, l'ensemble des pays francophones et francophiles représente 16 % du PIB mondial, avec un taux de croissance moyen de 7 %, et près de 14 % des réserves mondiales de ressources minières et énergétiques, alors que les francophones ne représentent encore que 4 % de la population mondiale.

Selon les prévisions contenues dans le rapport Jacques Attali sur la Francophonie remis en aout 2014 au Président français, François Hollande, d'ici à 2050, le nombre de locuteurs francophones pourrait atteindre 770 millions induisant des besoins importants en infrastructures pour porter la croissance des pays.

De plus, le développement des nouvelles technologies telles que le paiement mobile, l'e-santé, le ‘big data', pourraient accélérer leur développement.

Le même document préconise que la francophonie devrait travailler à attirer dans son giron un géant anglophone de l'Afrique qu'est le Nigeria avec 177 millions d'habitants, soit plus de la moitié de celle de toute l'Afrique occidentale. Il en va de même pour un grand pays francophone comme l'Algérie qui ne fait pas partie de la Francophonie en tant qu'organisation.

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