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Enquête Plus N° 750 du 12/12/2013

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Enseignement scientifique et technique : mettre les sciences au centre de l’enseignement
Publié le jeudi 12 decembre 2013   |  Enquête Plus


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© Autre presse par DR
Le professeur Mary Teuw Niane, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche


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Depuis 2010, après l'étude sur l'enseignement des sciences et de la technologie, l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS) continue de former, en didactique des sciences et de la technologie, ses formateurs devant changer les paradigmes de l'enseignement des sciences.



Confrontées à des problèmes de performance, les disciplines scientifiques perdent nationale des sciences et techniques du Sénégal estime qu'il faut au préalable former les enseignants, avant d'implanter toute réforme de l'enseignement des sciences. Selon le professeur Abdoulaye Samb, vice-président de l'ANSTS, la plupart des élèves sont formés dans les séries littéraires.

Tandis que les scientifiques ont des performances qui sont relativement en deçà des attentes. La ''Nouvelle vision de l'Enseignement des sciences et de la technologie, du préscolaire au supérieur'', qui ressort d'une étude faite en 2010, vient en appoint pour renverser la tendance.

L'idée est de former les enseignants, avec des partenaires. 40 experts sénégalais vont être formés dans le domaine de la pédagogie situationnelle, pour leur permettre d'acquérir de vraies compétences. Le professeur Abdoulaye Samb est d'avis que cette reforme doit commencer dès le préscolaire. En effet, le professeur Jean Marie Dekete pense que, si l'évaluation certificative n'est pas revue, les pratiques ne changeront pas dans les classes.

Car, hormis le facteur financier, il considère qu'il faut que le changement de conception soit fondamental, pour hisser la barre. Selon lui, l'étude montre que la motivation des études en sciences se détériore, d'un niveau d'études à l'autre. Car, les connaissances qui ont été retenues pour les examens ne restent pas et sont souvent des connaissances mal comprises, ce qui n'est pas propice à la culture scientifique, dit-il.

Pour éviter de mettre la responsabilité sur une composante (élèves, enseignants, ceux qui s'occupent de la formation, les autorités), il déclare que les responsabilités sont partagées. Le délégué Wallonie-Bruxelles, Christian Saelens, dira que chaque pays doit avoir un enseignement complet et diversifié et disposer de moyens d'enseignement.

AIDA DIENE

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