Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Senegal    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

Sénégal: Le FEM réitère sa volonté de soutenir la lutte contre les émissions de mercure
Publié le mardi 15 juillet 2014   |  Agence de Presse Sénégalaise




 Vos outils




Abidjan - La directrice générale et présidente du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), Naoko Ishii, a réitéré, lundi à Dakar, la volonté de sa structure à soutenir et financer la lutte pour le contrôle et la réduction des émissions de mercure.

Mme Ishii participait à l’ouverture d’un atelier de deux jours dédié au plaidoyer pour la ratification de la Convention de Minamata sur le mercure, élaborée en 2013 par 140 pays.

Cette convention vise à "contrôler et réduire les émissions de mercure pour protéger la santé humaine et l’environnement". Elle préconise l’"interdiction progressive de l’extraction minière et des produits et procédés utilisant du mercure, à l’horizon 2020".
"Il est important de comprendre que le mercure est un polluant mondial" qui émane de "sources différentes, suivant les pays", a expliqué Naoko Ishii.

"Les sources d’émissions primaires sont l’extraction minière artisanale, les installations industrielles à grande échelle, comme les centrales alimentées avec du charbon, les chaudières industrielles et les incinérateurs de déchets", a-t-elle signalé.

"Les émissions de mercure ont tendance à se disperser rapidement à travers le monde, franchissant les frontières et causant des problèmes de santé et des dommages environnementaux", a expliqué la directrice générale et présidente du FEM. Elle assure que "le FEM est prêt à soutenir la convention".

Naoko Ishii déclare que plusieurs projets d’éradication des effets néfastes du mercure ont été financés par ce Fonds.

"Ces projets ont été réalisés ou sont en cours de préparation. (…) Nous sommes prêts à soutenir le développement et la démonstration de technologies novatrices de réduction du mercure, notamment son utilisation et son contrôle à partir des sources d’émission, et la bonne gestion des stocks de mercure", a déclaré Mme Ishii.

(APS/AIP)
kkp/cmas

 Commentaires