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Plaidoyer pour la convention de Minamata relative au mercure
Publié le mercredi 9 juillet 2014   |  Agence de Presse Africaine




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Divers acteurs étatiques, des Nations Unies, d’organisations non gouvernementales œuvrant en faveur de l’environnement, ont plaidé mercredi à Dakar, pour la ratification de la convention de Minamata relative au mercure adoptée les 10 et 11 novembre 2013 à Kumamoto (Japon).


«Face à l'urgence causée par les effets néfastes du mercure qui est une substance chimique nocive pour l'environnement et la santé humaine, les pays doivent signer la convention de Minamata. Ce qui permettra de la transposer en droit national et de réduire les effets de ce produit», a dit Mame Meïssa Tine, directeur de cabinet du ministre de l'Environnement et du développement durable (MEDD).

Il s'exprimait en marge de l'ouverture d'un atelier sous-régional de trois jours pour les pays d'Afrique francophone sur la ratification et la mise en œuvre de la convention de Minamata sur le mercure.

L'objectif de la présente Convention est de protéger la santé humaine et l'environnement contre les émissions et rejets anthropiques de mercure et de composés du mercure.

«En Afrique, la ratification des conventions est une démarche de longue haleine. De nombreux traités et conventions traînent pour entrer en vigueur faute de ratifications suffisantes. Mais tel ne doit pas être le cas pour cette convention. Il faut qu'on la ratifie très vite», a poursuivi Mame Meïssa Tine.

Selon Ibrahima Sow, chef de division des déchets et produits chimiques du Fonds mondial pour l'environnement (FEM), la ratification de la convention de Minamata est avantageuse t utile por les pays.

«La ratification est avantageuse et utile dans le sens qu'elle ouvre aux pays la voie de bénéficier des fonds disponibles au FEM pour lutter contre les effets du mercure. Ils bénéficieront également d'un accompagnement technique».

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