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La marche avortée du PDS et d’autres sujets à la Une
Publié le vendredi 13 juin 2014   |  Agence de Presse Sénégalaise




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La marche avortée du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) fait partie des sujets en exergue dans la livraison de vendredi de la presse quotidienne.

"La police mate les libéraux" lors de cette marche avortée, par le biais de laquelle les responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) voulaient "exiger" de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) de délivrer des permis de visite à Karim Wade, renseigne Le Populaire.

L’ex-ministre d’Etat, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été placé sous mandat de dépôt il y a plus d’un an, pour enrichissement illicite présumé. De nombreux autres responsables du PDS, l’ancien parti au pouvoir, se trouvent visés par la même procédure.

Selon Le Populaire, le coordonnateur du PDS, Oumar Sarr, ainsi que d’autres responsables tels que Khadim Guèye et Saër Guèye, "ont été interpellés avant d’être relâchés dans la soirée", au cours de cette marche. Une information confirmée par La Tribune, en rappelant que le maire de Dagana figure sur la liste des personnalités visées par la traque des biens présumés mal acquis.

"Même s’il n’y a pas eu grande mobilisation, hier (jeudi), devant les locaux e la CREI comme le souhaitait le PDS, militants et responsables de ce parti ont manifesté pour exiger la délivrance de permis de visite à Karim Wade emprisonné à Rebeuss", rapporte Walfadjri.

"Et devant l’insistance des organisateurs de la manif, Oumar Sarr, l’ancien ministre Khadim Guèye, l’ambassadeur Saër Guèye et d’autres responsables libéraux ont été violemment interpellés". "La police mâte les libéraux", signale également Le Quotidien.

Mais selon le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, dont les propos sont rapportés par le quotidien Libération, l’information selon laquelle Karim Wade serait isolé et ses avocats interdits d’accéder à son dossier, "est sans fondement".

"Le procureur spécial près de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) dément l’isolement de Karim Wade et l’inaccessibilité du dossier pour ses conseils qui en réalité, trouvent fastidieux d’aller à la CREI (y) regarder à la loupe 41.000 pages", rapporte de son côté L’As.

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