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Sénégal - Économie -Infrastructures / Plus de 2.000 emplois attendus du marché d’intérêt national de Diamniadio, selon son directeur général
Publié le jeudi 27 avril 2023  |  Agence de Presse Sénégalaise
Mouhamadou
© Agence de Presse Sénégalaise par DR
Mouhamadou Abdoulaye Mbaye, directeur général du marché d’intérêt national (MIN) de Diamniadio (ouest)
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Le marché d’intérêt national (MIN) de Diamniadio (ouest) va générer plus de 2.000 emplois dans un proche avenir et en fournira par centaines de milliers lorsqu’il tournera à plein régime, a déclaré son directeur général, Mouhamadou Abdoulaye Mbaye, dans une interview donnée mercredi à l’APS.

‘’Il y a plus de 2.000 emplois qui sont en train d’être créés au marché d’intérêt national. Des centaines de milliers d’emplois pourraient être créés lorsque le marché d’intérêt national atteindra sa vitesse de croisière’’, a-t-il promis.

Le MIN est ‘’un véritable pourvoyeur d’emplois directs et indirects’’, a ajouté M. Mbaye, directeur général de la Société d’exploitation du marché d’intérêt national et de la gare des gros porteurs (SEMIG).

Cet établissement commercial construit par l’Etat du Sénégal et inauguré en 2019 par le président de la République génère de nombreux emplois faisant appel à plusieurs spécialistes, dont les manutentionnaires, selon lui.

‘’Le marché d’intérêt national est une mine d’emplois’’, a insisté le directeur général de la SEMIG, précisant que les producteurs et les commerçants souhaitant y écouler leurs marchandises doivent satisfaire à certains critères.

‘’Il faut avoir un NINEA (numéro d’identification nationale des entreprises et associations), s’inscrire au registre du commerce, prouver que vous menez une activité agroalimentaire et donner [des preuves] de votre collaboration avec une banque’’, a énuméré Mahamadou Abdoulaye Mbaye.

La SEMIG peut toutefois entretenir avec des producteurs ne satisfaisant pas à tous ces critères, selon M. Mbaye.

Le MIN, doté de nombreux équipements, dont un laboratoire d’analyse de la qualité phytosanitaire de la production agricole et horticole, a coûté à l’Etat 55 milliards de francs CFA, a-t-on appris de son directeur général.

L’infrastructure a entamé ses activités commerciales en septembre dernier, a-t-il dit.

CS/ESF
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