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ancement à Dakar du processus de dialogue inclusif pays de l’alliance AGIR
Publié le vendredi 23 mai 2014   |  Agence de Presse Africaine




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Dakar (Sénégal) - Le processus de dialogue inclusif pays de l’Alliance global pour la résilience Sahel et Afrique de l’Ouest (AGIR) a été officiellement lancé ce vendredi dans la capitale Sénégal.


« Cette rencontre vise à présenter AGIR et requérir la participation active de tous les acteurs concernés par le processus de déclinaison des priorités résilience pour le Sénégal », a déclaré Mme Maïmouna Lô Guèye point focal Agir pour le Sénégal.

Il s'agit, selon elle, d'informer et de renforcer l'appropriation au niveau national du concept AGIR, de favoriser la mise en place de la plateforme de dialogue inclusif et de s'accorder sur un chronogramme de conduite du processus.

De l'avis de Mme Guèye, en 2012, quelque 18 millions de personnes étaient touchés par la faim et la malnutrition à travers huit pays de la région du Sahel, en Afrique de l'Ouest. Parmi ces 18 millions de personnes, un million d'enfants souffraient de malnutrition aiguë.

« C'est dans ce contexte que la Commission de l'Union européenne a convoqué une réunion extraordinaire le 18 juin 2012 dans l'objectif de répondre à l'urgence sur le court terme et établir un nouveau partenariat pour renforcer la résilience au Sahel sur le plus long terme », rappelle Mme Gueye. L'objectif d'Agir est d'aboutir à zéro faim d'ici 20 ans. Pour y arriver une feuille de route régionale a été adoptée le 9 avril 2013 à Paris,a-t-elle fait remarquer.

« La priorité consiste à traduire les objectifs convenus pour l'ensemble de la région en actions visant à renforcer la résilience au niveau national, voire régional », affirme le point focal d'Agir.

Pour sa part, Mme Khady Fall Tall, présidente du Réseau des associations des femmes de l'Afrique de l'Ouest (RAFAO), estime que la faim et la pauvreté constituent un adversaire redoutable qui démontre le caractère non adapté des politiques agricole au niveau rural.

« Il faut, selon elle, insister sur les chaînes de valeur pour que les femmes puissent s'impliquer davantage dans l'agriculture notamment la production et la conservation des produits agricoles ».

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