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Coronavirus : « Ça me rassure », Abdoulaye Diouf Sarr pousse un ouf de soulagement
Publié le lundi 26 juillet 2021  |  senenews.com
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© Ministère par DR
Point de presse du ministère de la Santé sur l`épidémie de Covid-19
Dakar, le 7 septembre 2020 - Les équipes du ministère de la Santé et de l`Action sociale en charge de la gestion de la pandémie de Covid-19 ont animé, un point de presse pour faire le bilan de la gestion de la maladie 6 mois après son apparition au Sénégal. Photo: Abdoulaye Diouf Sarr, ministre de la Santé et de l`Action sociale
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Sous le feu des projecteurs, Abdoulaye Diouf Sarr reprend la parole. La pandémie de Covid-19 n’est plus une affaire de vieux, surtout avec le nouveau variant Delta qui touche plus les jeunes. Conscients qu’ils ne sont plus épargnés, c’est la ruée des jeunes vers la vaccination. Une prise de conscience soudaine qui rassure le ministre de la Santé.

« Je vois que les lignes commencent à bouger. Ce que j’ai vu ces derniers jours par rapport aux vaccins me rassure du point de vue de la prise de conscience. À Philippe Maguilène Senghor, à Gaspard Kamara, on voit un monde fou composé de jeunes », se réjouit Abdoulaye Diouf Sarr, tout en lançant un appel à plus de responsabilité pour briser la chaîne de la contamination.

Dernièrement, Abdoulaye Diouf Sarr avait souligné qu’il « faut se rendre compte que nous sommes face à une 3e vague caractérisée par la présence du variant Delta qui touche énormément de jeunes. Beaucoup de jeunes sont dans les Cte et ce sont même des cas graves, donc il faut se lever comme un seul homme pour couper la chaîne de transmission parce que la progression est exponentielle et n’est pas proportionnelle à la capacité de lits que nous avons ».

Interpellé sur les raisons de cette tension notée sur les vaccins, il estime : «Quand nous avons reçu les 324 000 doses d’AstraZeneca, nous avons estimé qu’il fallait l’utiliser en 1ère dose pour deux raisons fondamentales, parce que la date de péremption de ces doses était proche. Il ne fallait pas prendre le risque de les garder pour une 2e dose et de les perdre après. Mais aussi, on couvre le maximum de personnes, on leur installe une immunité sur une première dose », souligne Abdoulaye Diouf Sarr.
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