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Candidatures de Karim Wade et de Khalifa Sall pour les prochaines élections : les précisions du ministre de l’Intérieur Antoine Diome
Publié le mardi 13 juillet 2021  |  actusen.sn
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© aDakar.com par BL
Le ministre de l`Intérieur a défendu à l`Assemblée nationale le projet de loi portant code électoral
Dakar, le 12 juillet 2021 - Le ministre de l’Intérieur était devant les députés, en séance plénière à l’Assemblée Nationale, le lundi 12 juillet 2021, jusque tard dans la nuit, pour défendre la réforme sur le code électoral.
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Malgré la révolte des membres de l’opposition, le projet de loi n°18/2021 portant Code électoral a été finalement adopté, hier à l’Assemblée nationale. Le ministre de l’Intérieur était devant les parlementaires pour défendre ce projet de loi. Antoine Félix Diome a été beaucoup interpellé sur les candidatures de Karim Wade et Khalifa pour les prochaines échéances électorales. Deux ‘’K’’ qui ne sont pas pris en compte dans le projet de loi.

Et c’est le député Cheikh Abdou Bara Mbacké Doly qui a soulevé la question à l’issue de la lecture du rapport. Mais la réponse du premier flic du pays a été on ne peut plus claire. Selon Antoine Diome, il appartient aux services compétents de régler ces questions. «Il n’est pas de mon ressort de dire si un citoyen est autorisé ou pas à être candidat ou à s’inscrire sur les listes électorales», a déclaré le patron de la place Washington.

«Il appartient aux services compétents et au personnel prévu par le code électoral, d’apprécier les candidatures ou les inscriptions des citoyens. Ce n’est ni par arrêté ni par décret que ces questions peuvent être réglées»

À en croire Antoine Diome, «il appartient aux services compétents et au personnel prévu par le code électoral, d’apprécier les candidatures ou les inscriptions des citoyens. Ce n’est ni par arrêté ni par décret que ces questions peuvent être réglées».

Quid de l’adéquation entre condamnation et perte des droits civiques ? Le successeur de Aly Ngouille Ndiaye à la tête dudit département de marteler en ces termes : «les textes de loi ne sont pas statiques. Ils sont appelés à évoluer dans le temps. De plus, leur application relève de la compétence du juge. Mais il faut noter que ces questions peuvent susciter d’autres concertations, ultérieurement».
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