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Le limogeage du DG de l’ARTP à la Une de la presse sénégalaise
Publié le jeudi 8 mai 2014   |  Agence de Presse Africaine


Abou
© Autre presse par DR
Abou Lô, directeur de l`Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)


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Le limogeage d’Abou Lô, directeur général de l’agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), accusé de commanditer le rapt du mandataire de la coalition Benno Bokk Yakaar (majorité), entraînant la forclusion de cette liste à Ogo (Nord) pour les élections locales du 29 juin 2014, est largement commenté par les quotidiens sénégalais reçus jeudi à APA.

«Macky Sall limoge Abou Lô», titre le journal Sud Quotidien, parlant ainsi de dégâts collatéraux du kidnapping à Ogo.

Selon Walfadjri quotidien, après son limogeage du poste de DG de l'ARTP, «Abou Lô risque la prison». Ce journal explique que l'ancien ministre de la communication pourrait être traduit en justice et encourt une peine allant de 5 à 10 ans.

«Abou Lô risque la prison», insiste La Tribune, selon lequel journal, le rapt de l'inspecteur Alassane Niane lui coûte très cher.

Le Quotidien ironise : «Abou Lô déconnecté de l'ARTP». «Farba Ngom (député) vire Abou Lô», indique' de son côté Rewmi quotidien.

Pour Le Populaire, «le limogeage d'Abou Lô (est) un signal pour les autres» car, le président Macky Sall va sabrer d'autres têtes après le 29 juin, date des locales.

«Vers une nouvelle Alliance pour la République (APR, au pouvoir) reflétant le poids réel des responsables aux locales», écrit Le Populaire.

Parlant des locales, le quotidien EnQuête fait état de «duels en série», notamment dans des viles comme Pikine, Guédiawaye, Linguère, Mbour.

L'Observateur lui voit déjà des «ombres sur les élections locales» et note que les décrets de Macky Sall sont remis en question, et que la tenue de ces élections est suspendue à la décision de la Cour suprême.


TE/APA

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