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La sécurité en taille patron dans la presse sénégalaise
Publié le vendredi 28 fevrier 2020  |  Agence de Presse Africaine
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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Les journaux sénégalais, reçus vendredi à APA, traitent principalement des tests grandeur nature des forces de défense et de sécurité pour éventuellement faire face à la menace terroriste.

L’AS informe que « le Sénégal teste sa capacité de riposte contre les terroristes » dans le cadre de l’exercice « Fagaru 3 (se protéger, en langue wolof). Le Soleil indique que « le ministère de l’Intérieur a organisé, hier (jeudi), au Grand Théâtre de Dakar, (une) simulation d’attaque terroriste causant une tuerie de masse ».

A cette occasion, précise le quotidien national, « toutes les forces composant le Cadre d’intervention et de coordination interministériel des opérations de lutte antiterroriste (Cico) étaient mobilisées ».

Dans Le Soleil, Aly Ngouille Ndiaye, le ministre de l’Intérieur soutient que « nous n’avons pas subi de menaces directes mais aucun pays n’est à l’abri ». Poursuivant dans Le Quotidien, M. Ndiaye s’est réjoui du bilan de la simulation : « Il y avait 50 assaillants à terre, deux morts, un téléphone retrouvé par terre, une kalachnikov, une personne atteinte par des produits chimiques, 36 otages dont 2 non identifiés, deux journalistes arrêtés quand ils voulaient traverser la ligne de sécurité ».

L’Observateur annonce qu’ « un véhicule blindé du Groupement d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) dérape, percute 4 voitures et fait 11 blessés dont 2 graves ».

En outre, ce journal fait savoir que l’accident s’est déroulé au « boulevard du Général (Charles) de Gaulle de Dakar, à hauteur de la Caserne Samba Diéry Diallo ». Vox Populi rapporte que le véhicule de la Gendarmerie ayant causé l’accident « était dans un cortège du GIGN de retour du Grand Théâtre où venait de se terminer un exercice de simulation d’une attaque terroriste initié par le ministère de l’Intérieur ».

Enfin, L’Observateur passe à la loupe la vie des militaires libérés de l’Armée ». Dans les colonnes de ce journal, Amadou Fall, l’un d’eux confesse qu’à sa libération, après deux ans de service (la durée légale), il était comme « un condamné à une mort sociale ».

ID/cgd/APA
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