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Le sacre de Sadio Mané aux CAF Awards à la une
Publié le mercredi 8 janvier 2020  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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L’attribution du Ballon d’Or africain 2019 à l’international sénégalais Sadio Mané et le procès du présumé meurtrier de Fatoumata Moctar Ndiaye, la vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental, sont les sujets en exergue dans les quotidiens reçus mercredi à l’APS.

L’attaquant sénégalais de Liverpool (élite anglaise), Sadio Mané, a remporté mardi le titre de meilleur footballeur africain de l’année 2019. Il a été sacré à Hurghada, ville située à 500 km du Caire, la capitale égyptienne, devant l’Algérien Riyad Mahrez et l’Egyptien Mohamed Salah, vainqueur des éditions 2017 et 2018.

Sadio Mané est devenu le deuxième Sénégalais à remporter le titre de meilleur footballeur africain après El Hadji Diouf en 2001 et 2002. Une récompense méritée pour le leader d’attaque des Lions du Sénégal, qui était sur le podium des trois précédentes éditions. Sadio Mané est donc arrivé au sacre pas à pas.

Dix-huit ans après El Hadji Diouf, qu’il cite parmi ses repères, Mané, apprécié pour son humilité frisant la timidité, a décroché le Graal devant l’Algérien Riyad Mahrez et l’Egyptien Mohamed Salah. Un sacre qui ressemble à une réponse du berger à la bergère, Salah ayant été couronné un an plus tôt à Dakar, sur les terres de Sadio Mané.

Le sacre de Mané est largement salué mercredi par les quotidiens. ‘’’L’apothéose !’’, s’exclame à la Une Enquête qui écrit : ‘’Un sacre tant attendu et bien mérité a sanctionné une année 2019 exceptionnelle pour l’ailier sénégalais. Un trophée individuel qui pourrait bien marquer le tournant d’une carrière à faire passer au palier supérieur. A Liverpool ou ailleurs’’.

Selon le journal, ‘’Le Lion reverdit les prairies du foot sénégalais, 18 ans après le double sacre d’El Hadj Ousseynou Diouf’’.

‘’Sadio, Roi d’Afrique’’, dit Sud Quotidien, soulignant que Mané ‘’rejoint le cercle restreint des vainqueurs de ce prestigieux trophée dont El Hadj Diouf, double vainqueur en 2001 et 2002’’. Le journal salue ‘’une consécration pour l’international sénégalais qui a bouclé une année exceptionnelle à tout point de vue pour un footballeur’’.

Libération tente un jeu de mot et s’exclame à la Une ‘’Mané-fique !’’. ‘’L’attaquant sénégalais Sadio Mané, l’un des grands déçus du Ballon d’or de France Football 2019, s’est consolé mardi avec le titre de meilleur joueur africain (…)’’.

Le journal L’As salue le ‘’Roi d’Afrique’’, notant que ‘’le ballon d’Or remporté hier n’est que l’aboutissement d’une saison exceptionnelle de l’international sénégalais. Lors de la saison 2019, Sadio Mané a tout remporté avec Liverpool’’.

Dix-sept ans après El Hadj Ousseynou Diouf, Sadio est sacré Ballon d’Or africain, selon Source A qui écrit : ‘’Historiquement merveilleux’’.

Le Soleil salue ’’le sacre du +jatto+’’, qui désigne le Lion en mandingue. ’’Sadio, Mansa d’Afrique’’, selon Le Quotidien. Mansa désignant le Roi en mandingue. ’’De Bambali au Pays des pyramides, la fabuleuse épopée de Sadio Mané’’, affiche à sa Une Le Témoin tandis que L’Observateur salue ’’Le Roi Lion’’.

Les quotidiens reviennent aussi sur le procès du présumé meurtrier de Fatoumata Moctar Ndiaye, la vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental. Enquête fait ‘’le récit d’une folie furieuse’’.

’’Samba Sow alias Bathieu, âgée de 33 ans, a comparu hier devant la Chambre criminelle du Tribunal de grande instance de Dakar, pour avoir égorgé la présidente des femmes de l’Alliance pour la République (APR) du département de Pikine (…) et pour tentative d’assassinat sur le fils de la victime (…). Il risque la perpétuité’’, écrit Enquête.

L’As note que ‘’malgré les graves accusations qui pèsent sur sa tête, le présumé meurtrier (…) a fait montre d’une impolitesse inqualifiable devant la barre (…). Le mis en cause a accusé sa tante (…) et le deuxième questeur de l’Assemblée nationale d’être les commanditaires du meurtre de la présidente des femmes apéristes de Pikine’’.

C’est ‘’un film de l’horreur’’ qui a été raconté au tribunal hier, selon Source A, soulignant que le prévenu a déclaré avoir bu le sang de sa victime après l’avoir égorgé. Selon le journal, ‘’l’accusé laisse paraitre une attitude hautaine et une arrogance notoire. Il a même laissé entendre que ce procès est une mascarade et un complot contre sa personne’’.

OID/ASB
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