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Remous au PDS et grâce avortée de Khalifa Sall en vedette dans la presse sénégalaise
Publié le jeudi 15 aout 2019  |  Journal du Cameroun
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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Les quotidiens sénégalais parvenus mercredi à APA traitent principalement de sujets politiques, avec le remaniement « qui passe mal » au secrétariat national du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) de l’ex-président Wade et la grâce présidentielle « contrariée » de l’ex-maire de Dakar Khalifa Sall.« Parti démocratique sénégalais : un remaniement qui passe mal », titre le quotidien national Le Soleil, reprenant par ailleurs l’analyste de Maurice Soudjeck Dione qui indique que « Wade veut légitimer l’influence de Karim », son fils.
Ce renouvellement a fini donc de créer une « fronde contre les Wade », a noté Sud Quotidien là où L’Observateur, sous le titre « Les Wade pris à partie », rapporte une vague de réactions contre le « chamboulement » instauré par le secrétaire général du PDS.
« Ce nouveau secrétariat du PDS, c’est du grand n’importe quoi », « c’est Karim qui impose sa succession » ou « des gens à des niveaux insoupçonnés se réunissent pour faire face à Wade » sont, entre autres, les titres de réactions à la une de ce journal.
Sur un autre sujet, L’Observateur s’intéresse à la libération annoncée de l’ex-maire de la capitale sénégalaise et il titre à ce sujet : « Khalifa Sall, le dernier coup de grâce ».
« Macky fait chanter Khalifa », indique toutefois Walf Quotidien là où EnQuête, plus radical, parle de « grâce contrariée».
Le journal note en effet que cette grâce présidentielle est suspendue à une demande qui doit venir de Khalifa Sall ou de ses proches. Cependant « faire une demande, c’est d’accepter sa culpabilité », réplique Moussa Taye, conseiller politique de l’ex-maire socialiste.
Toutefois, « la procédure pénale est épuisée depuis le rabat d’arrêt », note l’avocat El Mamadou Ndiaye.
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