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Riposte au sida : Les interventions communautaires saluées
Publié le mardi 2 juillet 2019  |  Agence de Presse Sénégalaise
Vih/Sida
© Autre presse par DR
Vih/Sida au Sénégal : Le taux de prévalence passe de 0,7 % à 0,5 %
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Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, a souligné, mardi à Dakar, l’importance de la prise en compte des interventions communautaires et celles des Organisations non gouvernementales (ONG) dans la riposte au Sida.

"Il faut prendre en compte les interventions communautaires et celles ONG dans la riposte au sida pour leur intégration effective dans les services de prévention et de soins de notre pyramide sanitaire’’, a-t-il dit à l’ouverture de la 13e édition des journées scientifiques de l’Agence nationale de la recherche sur le Sida et les hépatites virales (ANRS).

"Les journées scientifiques du site ANRS Sénégal se déroulent à un moment où les programmes de lutte contre le sida et les hépatites en Afrique de l’Ouest et du centre sont astreints à des obligations de résultats pour combler les gaps des programmes innovants +Tester et traiter+ et de prévention qui ouvrent la voie à l’atteinte des objectifs de fin d’épidémie en 2030", a souligné Abdoulaye Diouf Sarr.

Selon lui, les recherches épidémiologiques ont permis au site ANRS du Sénégal, à son département, au CNLS et aux ONG sénégalaises de démontrer l’importance de la prise en charge des populations clés dans les épidémies VIH de type concentré et dans les épidémies d’hépatites C et B.

Il a magnifié les résultats de recherche enregistrés sur les thérapies du sida, de la tuberculose, des hépatites qui ont servi d’argumentaires scientifiques internationaux pour mettre sous contrôle ces épidémies.

"Le site ANRS Sénégal et ses partenaires, dont le Programme national de Lutte contre le Sida, ont fortement contribué à l’accès à des traitements antirétroviraux en Afrique pour avoir démontré en 1998 la faisabilité et l’efficacité des antirétroviraux en Afrique subsaharienne", a-t-il fait valoir.

Pour Diouf Sarr, il faut rendre accessible et disponible le test, les traitements antirétroviraux et la prise en charge virale dans toutes les régions.
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