Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Senegal    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Art et Culture
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Art et Culture

Le retour avorté de Me Wade largement commenté par la presse sénégalaise
Publié le jeudi 24 avril 2014   |  Agence de Presse Africaine




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à APA mettent le focus sur le retour avorté d’hier de l’ex-président de la République, Me Abdoulaye Wade, qui dit être bloqué à Casablanca (Maroc).

«Macky torpille le plan de Wade», titre le quotidien Direct-Info, parlant ainsi de retour différé de l'ancien président. Dans ce journal, Me Wade s'explique et affirme être «victime d'une violation de sa liberté».

«Le Ps (Parti socialiste) exhorte le pouvoir à être ferme. Les Libéraux se remobilisent aujourd'hui», poursuit Direct-Info.

«Retour avorté», barre à sa Une Sud Quotidien qui, dans son commentaire du jour, fait état de «démocratie choisie».

«Cahier d'un retour au pays natal», titre le journal L'Observateur, informant que 3 hommes d'affaires marocains étaient déclarés comme passagers du vol cloué.

Ce journal ajoute : «Alfa Air loue à Wade le falcon 10n°CNTKN. Une dérogation spéciale accordée au vol sous le N°869. Dakar quadrillé par les forces de l'ordre».

Selon Le Populaire, Wade a simplement «rusé, mobilisé et électrisé Dakar». «Bloqué à Casablanca, il rentre vendredi. Le Pds se heurte à un impressionnant dispositif sécuritaire», commente Le Pop.

«Wade, Maître de la rue publique», écrit le journal L'As, soulignant que Dakar était comme une ville en état de siège.

«La guerre des nerfs», tonne de son côté le journal EnQuête, dans lequel journal, Abdou Latif Coulibaly, porte-parole du gouvernement soutient que «Wade cherchait le buzz».

Libération revient sur ce qu'il appelle «la vérité sur ratage» et indique que les Marocains auraient annulé la location du jet privé qui devait transporter Wade, rendant ainsi impossible sa présence à Dakar.

Le Quotidien fait état de «couacs en plein vol» et donne la parole à Alioune Tine, président du Comité sénégalais des droits de l'Homme qui estime que «l'Etat doit respecter les libertés et droits humains».

 Commentaires