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Les réactions suscitées par le rapport d’Amnesty bousculent les autres sujets
Publié le vendredi 17 aout 2018  |  Agence de Presse Sénégalaise
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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Les précisions du ministère de la Justice, après la publication mercredi soir d’un rapport d’Amnesty International sur la situation des droits de l’homme au Sénégal bousculent les autres sujets dans la parution des journaux du vendredi parvenus à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

Dans son rapport sur l’examen périodique universel des Nations unies, Amnesty International juge "inéquitable" un certain nombre de procès au Sénégal, dont celui du maire de Dakar, Khalifa Sall.

L’organisation de défense des droits de l’homme a aussi cité les procès du fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, Karim Wade et des jihadistes présumés.

"Des accusations graves et erronées", titre Le Soleil, faisant part de la réaction de l’Etat sur le rapport d’Amnesty International. L’Etat, écrit Le Soleil, a constaté une "absence d’objectivité et de méthodologie" dans le rapport.

Dans le journal de Hann, l’Etat à travers le ministère de la Justice apporte des précisions sur un certain nombre de questions soulevées par l’organisation des droits de l’homme.

Pour Enquête, le ministre de la Justice Ismaïla Madior Fall "plaide non coupable".

De son côté, Le Quotidien indique que "IMF (pour Ismaïla Madior Fall) met le rapport d’Amnesty dans le sceau".

L’AS lui souligne que le ministre de la Justice Ismaïla Madior Fall "démonte" Amnesty International, en démentant formellement la situation dépeinte par cette organisation des droits de l’homme.

Le journal note que pour le gouvernement Amnesty International fait "plus état de questions politiques que des sujets axés sur les droits et libertés des citoyens".

Vox populi aborde les préparatifs de la fête de Tabaski, en relevant que les "vendeurs de +laadum+ (race de moutons) frappés par la conjecture". La parution signale que certains vendeurs de moutons exposent des moutons qui coûtent entre 700.000 et 10 millions de Francs CFA , mais peinent à trouver des acheteurs.

Sud quotidien évoque le "désarroi" des vendeurs de moutons à cause de la rareté et cherté de l’aliment de bétail, la non disponibilité des aliments subventionnés…

La situation du marché intéresse aussi l’Observateur qui revient sur la situation du marché de Sandaga, cinq ans après l’incendie qui l’avait frappé. "La bombe Sandaga", avertit le journal du Groupe futurs médias (GFM). Pour le préfet de Dakar, Alioune Badara Samb, la "fermeture du marché doit être respectée".

Le journal Enquête relate de la mobilisation tous azimuts par le Parti démocratique sénégalais (PDS) et ses alliés en le qualifiant de "second souffle de l’opposition".

Selon le journal, entre marches de protestations pacifiques, visites de proximité et sensibilisation des foyers religieux, "le PDS et les alliés cherchent à braquer les populations contre le régime du président Macky Sall".
BHC/PON
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